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Rejet de l'eau de Fukushima : le Japon dénonce une vague de harcèlement téléphonique venue de Chine

Tokyo a demandé samedi 26 août à Pékin de “garantir la sécurité des résidents japonais en Chine” après une vague de harcèlement téléphonique visant les entreprises japonaises. Elle a été déclenchée par le rejet controversé des eaux usées de Fukushima, filtrées et diluées selon un plan validé par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). La Chine s’est vivement opposée à cette opération et a notamment suspendu toute importation de produits de la mer venant Japon.

>> Fukushima : trois questions sur le rejet en mer des eaux contaminées de la centrale nucléaire, qui vient de commencer et doit durer des décennies

Les appels en provenance de Chine ont commencé à inonder les entreprises japonaises à partir de jeudi, lorsque l’opérateur Tepco, qui gère la centrale et le rejet en mer, a commencé à rejeter l’eau utilisée pour refroidir les réacteurs nucléaires sinistrés de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.

Un appel au calme adressé à Pékin

“Nous demandons instamment au gouvernement chinois de prendre les mesures appropriées, notamment en appelant ses citoyens à agir calmement, et de prendre toutes les mesures possibles pour assurer la sécurité des résidents japonais en Chine”, a déclaré Hiroyuki Namazu, haut diplomate japonais chargé des Affaires asiatiques et océaniennes, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères japonais. L’ambassade de Tokyo à Pékin a séparément demandé à ses ressortissants de s’abstenir de parler fort en japonais.

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Un homme d’affaires de Fukushima, cité par l’agence de presse Kyodo, a déclaré que ses quatre restaurants et pâtisseries avaient reçu un total d’environ 1 000 appels vendredi, la plupart en provenance de Chine, poussant ses commerces à débrancher leurs lignes. Le maire de la ville, Hiroshi Kohata, a déclaré samedi dans une publication sur Facebook que la mairie avait reçu près de 200 appels similaires en deux jours, et que les écoles, restaurants et hôtels locaux en avaient également été victimes.

Incendies en Grèce : les habitants se sentent abandonnés

Une cicatrice noire apparaît au-dessus d’Athènes. Il s’agit de la forêt du mont Parnès que la Grèce n’a pas pu ou pas su sauver. Cet après-midi du jeudi 24 août, aux abords de ses bois, des habitants appellent encore à l’aide. Depuis plusieurs heures, un homme cherche désespérément les pompiers, car dans son jardin, le feu couve. “Il nous faut plus d’eau pour arroser, sinon le feu va reprendre“, indique-t-il. 

Un manque de débroussaillage 

Les pompiers sont débordés, et apparemment pas assez nombreux. La Grèce manque de pompiers. Rapportée au nombre de ses habitants, elle a deux fois moins de soldats du feu que la France. “Le gouvernement n’a pas recruté de pompiers depuis des années“, explique un habitant. Par ailleurs, le pays brûle aussi par le manque d’entretien de ses forêts. Le manque de débroussaillage est pointé du doigt. “Regardez ce tas d’épines, c’est très inflammable“, commente un homme. Selon les chiffres officiels, 15 % seulement du budget de lutte contre les incendies est destiné à la prévention. 

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Reportage En Saône-et-Loire, un premier bateau à hydrogène pour naviguer proprement… ou presque

Naviguer sur les canaux de Bourgogne à bord d’un bateau à hydrogène, c’est le pari risqué relevé par les Canalous, premier loueur et constructeur de bateaux fluviaux en France. Ils proposent de tester le premier bateau à moteur électrique fonctionnant à l’hydrogène, le William Grove. Sur la coque, est inscrit “H2”, le symbole de l’hydrogène. Laëtitia et Pascal le louent pour une journée, “pour une réunion de famille”

>> Transition énergétique : l’hydrogène peut-il réellement devenir l’énergie du futur ?

Alfred Carignant, le patron des Canalous, l’entreprise de location de bateaux basée à Digoin, fait la démonstration. “On n’entend rien, absolument rien. Et si je mets les gaz, on entend très légèrement un sifflement. C’est l’hélice, mais c’est totalement silencieux. Vraiment, on glisse sur l’eau.”

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Pas encore de retour sur investissement 

La famille s’émerveille des atouts de l’hydrogène. “Ça ne pollue pas. Et c’est silencieux. On va pouvoir entendre la nature, les petits oiseaux”, se réjouit Laetitia. Le pique-nique est dans la glacière, les casquettes sur les têtes. C’est une belle journée de navigation en perspective sur le canal latéral à la Loire. Car contrairement à un bateau électrique classique, l’hydrogène permet de recharger les batteries et offre jusqu’à 16 heures d’autonomie.

“On a réussi le pari. Mais on avait un peu sous-estimé un aspect : comment faire pour ravitailler le bateau en hydrogène”, reconnaît cependant Alfred Carignant. Cet hydrogène est vert car il est produit grâce à des énergies renouvelables, mais il provient… de Vendée, à plus de 500 kilomètres de là, parcourus en camion. “Le retour sur investissement sur des projets comme ça, on n’est pas du tout dedans. Le surcoût d’équipement du bateau est élevé et le coût d’achat de l’hydrogène est très élevé aussi”, avoue le gérant des Canalous.

L’hydrogène, une “attente sociétale”

En effet, en France, l’hydrogène est balbutiant, il y a encore peu de lieux de production, explique Philippe Cauneau. Il est ingénieur transport à l’Ademe, l’agence de la transition écologique, qui prépare d’ailleurs un rapport sur les avantages et inconvénients de l’hydrogène pour la navigation à paraître en 2024. “L’hydrogène c’est une des solutions, c’est l’absence d’émission à l’échappement. Vous aurez zéro fumée. Mais elle pose encore des problèmes de logistique, d’avitaillement, souligne l’expert. On va être aussi impactant que si on avait utilisé du carburant gazole. Donc il y a des enjeux économiques, il y a des enjeux d’avitaillement. Par contre, clairement, on voit qu’il y a une attente sociétale aujourd’hui. Ce bateau est un bon préalable pour faire connaître le vecteur hydrogène, pour se l’approprier. En cela, déjà, ce projet est très satisfaisant.”

Pour surmonter ces obstacles, les Canalous envisagent donc de produire leur propre hydrogène sur place, à Digoin.

En Saône-et-Loire, le premier bateau à hydrogène fluviale : "Vraiment, on glisse sur l'eau" – Rportage de Camille Laurent

March 2023 Jazz Record Reviews

The Necks: Travel

Chris Abrahams, piano, organ; Tony Buck, drums; Lloyd Swanton, bass

Northern Spy NS158 (CD; also available on LP, download). 2023. Tim Whitten, prod., eng.

Performance ****

Sonics ****


The Necks are an acoustic product of the digital age. The longstanding Australian piano trio has worked, with rare exception, in hour-long spans of gradual development that would make Miles Davis and Gil Evans green with envy. On stage or in studio, they execute their warm yet machine-like repetitions with great precision. In 2017, they broke with formula to meet the demands of the vinyl revival, limiting their group improvisations to roughly 20-minute chunks for the double LP Unfold. That exercise became a regular practice during the pandemic, resulting in Travel, another 80 minutes of relatively bite-size pieces.


The last two records make clear how well they traverse the space between heart and mind suggested by their name, making distinctive, varied music without breaking their mold. At times they’ve added synthesizer, organ, even electric guitar, but they remain recognizable. Travel is a great introduction to their terrain: steeped in theme and variation, even if the themes are less hummable than emotionally evocative. The first two sides on Travel are among the jazziest they’ve released in their 30+ years. “Signal” and “Forming” are bright and upbeat, suited for either background or foreground listening. The third, “Imprinting,” is more cerebral, with subdued playing, a slow build, and a trickier count.


The set culminates with “Bloodstream,” a dramatic 18 minutes built around Chris Abrahams’s extended electric organ tones and delicate piano lines. Drummer Tony Buck plays in taut waves, not so much keeping time as marking distance. Bassist Lloyd Swanton’s arco melts into the organ with a deep foundation and unexpected harmonics. It’s a dark and beautiful piece. Longtime producer/engineer Tim Whitten captured these morning sessions; the recordings are deep, rich, and warm.—Kurt Gottschalk




Arild Andersen Group: Affirmation

Andersen, bass; Marius Neset, tenor saxophone; Helge Lien, piano; H&@229;kon Mjåset Johansen, drums

ECM 2763 (CD, available as download). 2022. Manfred Eicher, exec. prod.; Martin Abrahamsen, eng.

Performance ***½

Sonics ****½


Jazz musicians sometimes assume that, since improvisation is good, albums that are totally improvised must be best of all. But it is not that simple. Improvisations are departures whose deepest revelations are usually achieved in relation to what they depart from. Painting outside the lines requires lines.


Affirmation arrives with great promise. Arild Andersen’s previous ensemble, a trio with Tommy Smith on tenor saxophone, was one of the great bands of Europe. His new quartet has an even more acclaimed tenor player, rising star Marius Neset, and a poetic pianist, Helge Lien. Andersen remains that rare phenomenon, a bassist in whose hands the instrument becomes not only fully articulate but uniquely capable of touching otherwise sublimated emotions.


Andersen’s original plan had been to record some of his own pieces, but he changed his mind in the studio. This album is one 38-minute collective improvisation in seven parts, plus an Andersen composition, “Short Story.”


The result is a mixed bag. Much of this music sounds like the fourth movement: For too long, Neset trills and fidgets and oscillates unproductively and inconclusively while the other players respond randomly. The energy stirred up in the fifth movement sounds nervous rather than purposeful.


There are some lovely moments, like the concentrated lyricism of Andersen’s and Lien’s calls and responses in the second movement, and Neset’s dramatic entrance, in fervent cries, that opens the third movement.


But only the last track, “Short Story,” reveals the beauty these four special improvisers can create when they have been provided a strong melody to focus and inspire them.—Thomas Conrad




Ahmad Jamal: Emerald City Nights: Live at The Penthouse 1963–1964

Jazz Detective (2 LPs). 2022. Zev Feldman, Andrew Stayman, prods.; Jim Wilke, Sheldon Zaharko, engs.

Performance *****

Sonics ****


The often-underrated jazz pianist Ahmad Jamal is a gifted artist whose technique relies on both speed and space. Like Art Tatum, one of his heroes, he can command a keyboard, making several trips up and down the 88 keys in the time it takes mere mortals to take a breath. Few jazz musicians knew how to use space and make it such a crucial part of his playing in the ways Jamal did. Jamal also had a marvelous sense of rhythm.


Here, in a 1964 performance of “Squatty Roo,” by Ellington alto legend Johnny Hodges, he displays all those gifts and adds a lyrical solo and several lightning runs up and down the keyboard before laying back, intermittently adding emphatic chords and allowing the rhythm section—bassist Jamil Nasser and drummer Chuck Lampkin—to shine.


Jazz trios depend on chemistry, and in a sprightly, swinging version of “Lollipops and Roses,” Nasser turns in an idea-filled solo before all three join to drive the tune to conclusion.


The first volume of three two-LP sets on 180gm vinyl, covering six Jamal appearances at the Seattle club between 1963 and 1966, these wonderful recordings, originally recorded by engineer Jim Wilke, were discovered by the ever-intrepid Zev Feldman for the inaugural release of his own Jazz Detective label. All three sets were mastered for LP by Bernie Grundman from the original ¼” mono tapes and pressed at Optimal in Germany. The sound is clear and well-mixed but flat and one-dimensional.


While not chock full of fresh revelations, this volume of Live at The Penthouse is a fabulous snapshot of where he was as an artist, displaying his blazing technique, respect for space, and most of all his ability to improvise and compose in the moment.—Robert Baird




Benjamin Lackner: Last Decade

Lackner, piano; Mathias Eick, trumpet; Jérôme Regard, bass; Manu Katché, drums

ECM 2736 (CD, available as download, LP). 2022. Manfred Eicher, prod.; Gérard de Haro, eng.

Performance ****½

Sonics ****½


One of Manfred Eicher’s skills as a producer is to find the right new voices for his ECM label. Pianist Benjamin Lackner is not new to the international scene (he has 14 albums in his discography), but Last Decade is his ECM debut.


Many ECM adherents deny that there is an “ECM sound.” They are wrong. While the label’s vast output over half a century is diverse, its overarching identity encompasses distilled lyricism and an atmosphere of inwardness. What is noteworthy about Lackner is how his iteration of the ECM aesthetic sounds so natural and instinctive. His eight compositions here all feel like bare frameworks, yet their gestures of melody resonate with and inspire the four members of his quartet.


Mathias Eick is present in a rare sideman role. He is one of the most gifted trumpet players to enter jazz in the new millennium. He has many records of his own on ECM, but even Eicher’s power to create reputations has not quite made him famous. Last Decade contains song after luminous song in which Lackner postulates a crystalline idea and a rapt mood and Eick deepens both. The title track and “Open Minds Lost” are especially strong examples of this band’s pure, searching lyricism. Lackner sounds so patient, waiting to place each note until its moment arrives. Eick’s trumpet sound is a revelation of golden light. He respects Lackner’s melodies even as he finds new implications within them.


Of the other players, one is well established and one will be a new name to many. Drummer Manu Katché, a leader in his own right, enlivens this music from within. Jérôme Regard’s solo bass track “Émile” is a haunting two-minute interlude in the flow of the album.


ECM released some fine albums in 2022, but few are more beautiful.—Thomas Conrad




Simona Premazzi: Wave in Gravity

PRE 1174 (CD, available as download). 2023. Premazzi, prod.; Chris Allen, eng.

Performance ****½

Sonics ****


It is surprising that Simona Premazzi is not better known. She is the real deal on piano and has now made six albums. Wave in Gravity, her first solo recording, is a highly individual and creative response to the challenges of playing jazz piano without accompaniment, or rather, while serving as one’s own accompanist. The first track is, unmistakably, “In the Still of the Night,” but it is broken in strange places. With the need to supply her own bass line and rhythm, Premazzi’s hands become notably independent. Her dynamism and impulsiveness are exhilarating. She releases the song in intermittent eruptions. It is startling when the fragments coalesce and Cole Porter’s melody rings out resoundingly.


The other American Songbook pieces here are blocky and powerful. “My Heart Stood Still,” by Rodgers and Hart, may never have received a more percussive treatment, Premazzi’s left hand jabbing harmony and her right hand flailing melody. “On a Slow Boat to China” is an extravagance of decoration; Frank Loesser’s song is only one of the patterns in a vast design.


There are also jazz standards. “Monk’s Mood” is one of Thelonious Monk’s most hesitant, hovering, ambiguous ballads. Premazzi is not into hesitance. Her interpretation is aggressive and lush. Her version of Andrew Hill’s “Smoke Stack” has as much thrust as the composer’s (on his 1966 Blue Note album of that name). But Hill had two bassists and a drummer with him. Premazzi has only herself.


Premazzi’s own songs, like “Back Seat,” tend to bring out her pensive side—or would, if she had one.


This album is a case study in how to record piano. Chris Allen, working in one of the last remaining great Manhattan studios, Sear Sound, captures all the attack of Premazzi striking the keys of a great Steinway B.—Thomas Conrad

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Les Etats-Unis demandent à l'Arabie saoudite d'enquêter sur les allégations de meurtres de migrants éthiopiens

Les Etats-Unis s’alarment d’un rapport de l’ONG Human Rights Watch (HRW) selon lequel des gardes-frontières saoudiens ont tué des centaines de migrants. “Nous avons fait part de nos inquiétudes concernant ces allégations au gouvernement saoudien”, a précisé lundi 21 août  un porte-parole du département d’Etat. “Nous appelons les autorités saoudiennes à conduire une enquête approfondie et transparente”, a-t-il ajouté. Selon Washington, les gardes-frontières mis en cause dans le rapport n’ont pas été formés par les Etats-Unis.

Dans son rapport, Human Rights Watch affirme que des gardes-frontières saoudiens ont tiré sur des Ethiopiens traversant la frontière entre l’Arabie saoudite et le Yémen, tuant des centaines de personnes de mars 2022 à juin 2023. Ce rapport est “très inquiétant” et porte des accusations “très graves”, a déclaré lundi un porte-parole de l’ONU, selon qui il est toutefois difficile de “confirmer” ces allégations.

Pour les autorités saoudiennes, ces accusations sont “infondées” et ne reposent “pas sur des sources fiables”. Des migrants ont déclaré à HRW que les Houthis, qui contrôlent majoritairement le nord du Yémen, collaboraient avec les passeurs et leur avaient extorqué de l’argent ou les avaient transférés dans ce que les migrants décrivent comme des centres de détention. Ils ont également assuré que des personnes y étaient maltraitées jusqu’à ce qu’elles puissent payer un “droit de sortie”. Les Houthis ont nié travailler avec les passeurs, les décrivant comme des “criminels”.

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Quiz Cinéma : 10 photos, 10 films à reconnaître !

À l'occasion de la journée mondiale de la photographie, nous vous proposons un quiz mêlant le septième et le huitième art. Pourrez-vous réaliser le 10/10 sur ce quiz où il vous faudra reconnaître de simples photos vues au cinéma ?

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Lorsque l’on parle de photo au cinéma, c’est en général pour désigner l’ensemble des éléments menant au rendu visuel et à l’esthétique d’un film. La collaboration harmonieuse entre un réalisateur et son directeur photo est souvent nécessaire pour la réussite totale d’une œuvre.

Il n’est d’ailleurs pas rare que certains cinéastes entretiennent une relation de longévité avec certains directeurs de la photographie comme Steven Spielberg et Janusz Kaminski par exemple, qui ont collaboré sur une dizaine de longs-métrages parmi lesquels La Liste de Schindler ou encore Il faut sauver le soldat Ryan.

Mais il arrive aussi que la photo, dans le sens commun que nous lui donnons dans la vie de tous les jours, soit un sujet en tant que tel dans certains films. C’était par exemple le cas dans La Cité de Dieu (1997), film franco-germano brésilien coréalisé par Fernando Meirelles et Katia Lund, qui pourrait avoir une suite en série.

Il mettait en scène l’histoire d’un jeune photographe, également narrateur du film, témoin de l’évolution de son quartier de Rio de Janeiro, dans lequel se développent au fil des ans les gangs, la violence, l’armement et le trafic de drogue.

Dans un registre totalement différent, un film sorti en 2002 mettait lui aussi la photo au centre de son scénario, avec Robin Williams dans le rôle principal. Il s’agit de Photo Obsession, dans lequel l’acteur interprétait le rôle de Seymour Sy Parrish, employé dans un laboratoire de développement de photos, et habitué de ce fait à voir la vie privée des familles de son quartier s’étaler devant ses yeux au fil des clichés. Jusqu’à ce que l’une d’elles, la famille Yorkin, l’intéresse jusqu’à l’obsession, modèle à ses yeux de la famille parfaite, du moins en apparence…

Il est maintenant temps de jouer, avec un quiz au concept pas évident, puisque vous n’aurez droit qu’à une simple photo par question pour tenter de retrouver les titres des dix films présents dans ce quiz !

Incendies au Canada : les autorités supplient les habitants d’évacuer

C’était un petit paradis réputé dans toute l’Amérique du Nord. Les grandes maisons en bois épousaient les rives escarpées d’un lac. Dans la matinée du 20 août, même les bateaux sont en feu. Un homme tente de sauver ce qui peut encore l’être. Il a eu plus de chance que ses voisins, dont les maisons ont été dévorées par les flammes. “On a vécu une nuit de combat absolument sans précédent contre les feux”, a affirmé Jason Brolund, porte-parole des pompiers.

Déjà 30 000 personnes évacuées

La nuit, les pompiers ne peuvent pas utiliser leurs moyens aériens. Cloués au sol, ils sont condamnés à regarder les flammes engloutir la forêt. Déjà 30 000 personnes de la ville de Kelowna (Canada) ont été évacuées en convoi sur l’autoroute. 36 000 autres le seront dans les prochaines heures. Les autorités canadiennes appellent à éviter toute la région de Kelowna.

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Vidéo Sous les trottoirs de Paris, le réseau de froid urbain veut remplacer les climatiseurs

Place du Canada, dans le 8e arrondissement de Paris, on ne remarque pas le cercle dessiné dans le béton du trottoir. Un cercle qui pourtant se soulève et révèle l’escalier d’accès à une centrale de production de froid, entrée digne d’un film de science-fiction. 

La centrale, située sous les pieds des nombreux passants, forme un cylindre de 30 mètres de diamètre et 30 mètres de profondeur, divisé en quatre étages. Propriété de la Ville de Paris, elle fait partie des dix centrales exploitées par Fraîcheur de Paris pour alimenter le réseau de froid urbain parisien. Quatre-vingt-douze kilomètres de canalisations qui constituent une alternative à la climatisation autonome et permettent de rafraîchir des bâtiments en faisant circuler de l’eau froide en circuit fermé.

>> Fortes chaleurs : cinq conseils pour rafraîchir son logement sans installer de climatisation

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Aux deux étages les plus profonds de la centrale, les machines refroidissent l’eau grâce à un gaz frigorigène. Des machines qui produisent un bruit assourdissant, sans jamais qu’on puisse les entendre de l’extérieur. La preuve en est qu’une des centrales, située près de la Philarmonie de Paris, n’a jamais dérangé personne. Cette eau, à moins de 10°C, est ensuite envoyée vers les bâtiments raccordés, où un premier échange thermique entre la température de l’air ambiant et l’eau glacée va permettre de rafraîchir les pièces. L’eau, alors aux alentours de 15°C, retourne vers la centrale pour être de nouveau refroidie, et ainsi de suite. 

“Aujourd’hui, les températures augmentent, rappelle Raphaëlle Nayral, secrétaire générale de Fraîcheur de Paris. On parle d’un climat sévillan à horizon 2050 à Paris”. Face à ce constat, les Parisiens ont le choix entre deux modes de climatisation, selon Raphaëlle Nayral : “Soit vous choisissez une climatisation autonome, des systèmes individuels, qui pour la grande majorité vont réchauffer l’air, en rejetant la chaleur des bâtiments dans l’air extérieur. Ça crée ce qu’on appelle des îlots de chaleur urbains”. L’autre solution, c’est la sienne : le réseau de froid urbain, qui n’accentue pas l’écart de température entre l’intérieur et l’extérieur d’un bâtiment.

La Seine, un outil pour économiser l’électricité

Si la centrale ne rejette rien, elle consomme bien sûr de l’électricité pour fonctionner. Depuis 2022, des champs de panneaux solaires dédiés, situés en France, fournissent aux centrales plus de 50% de leurs besoins en électricité. Et la ville de Paris dispose d’un autre outil qui, ici, va permettre d’économiser de l’énergie : la Seine, qui est utile toute l’année. “En période estivale, elle sert à dissiper la chaleur qui est produite par la centrale, détaille Raphaëlle Nayral.

“Et pendant l’hiver, si je caricature un peu, la centrale est presque silencieuse. On va rafraîchir l’eau directement par échange thermique avec la Seine’.

Raphaëlle Nayral, secrétaire générale de Fraîcheur de Paris

à franceinfo

Jason Statham face à 3 méga requins : c’est dans le film d’action En eaux très troubles à voir au cinéma

Suite du film à succès de 2018, "En eaux très troubles" est à découvrir en salles dès ce mercredi. Jason Statham devra y affronter non pas un mais 3 mégalodons !

Cinq ans après En eaux troubles de Jon Turtletaub, Jason Statham est de retour avec En eaux très troubles.

Si le premier opus était, avec 150 millions de dollars de budget, le film de requin le plus cher de l’Histoire, il est aussi le plus rentable puisqu’il a rapporté 530 millions de $ au box-office international. Il semblait donc logique que Warner Bros produise une suite.

Réalisé cette fois-ci par Ben Wheatley (High-Rise, Free Fire), le long métrage écrit par Dean Georgaris, Jon Hoeber et Erich Hoeber s’inspire du roman de Steve Alten, “Meg – La Fosse“, comme le volet précédent.

En eaux très troubles

Sortie :

2 août 2023

|
1h 56min

De
Ben Wheatley

Avec
Jason Statham,
Jing Wu,
Cliff Curtis

Spectateurs
3,3

Séances (733)

Dans cette suite, Jason Statham reprend son rôle du sauveteur Jonas et partage l’affiche avec la star chinoise Wu Jing (Jiuming Zhang), Cliff Curtis (James), la jeune Sophia Cai (Meiying), Melissanthi Mahut et Page Kennedy (DJ). L’équipe doit ici affronter non pas un mais 3 mégalodons, une pieuvre géante et d’autres créatures échappées du jurassique !

Le film suit le périple d’une équipe de chercheurs, menée par Jonas (surnommé le James Bond écolo par ses partenaires) et Jiuming, partie explorer les profondeurs de l’océan. La mission tourne à la catastrophe lorsqu’une opération d’extraction minière illégale met en péril leur vie.

Confrontés à d’immenses mégalodons et à des bandits sans pitié, ils vont devoir échapper aux terribles prédateurs en gardant toujours un temps d’avance sur eux.

Fidèle au premier volet – disponible sur les plateformes de streaming si vous souhaitez le rattraper – le long métrage est bourré d’action et de scènes plus folles les unes que les autres.

Après avoir vaincu un grand nombre de méchants humains, l’action-man Jason Statham se bat ici contre des monstres aquatiques, ce qui donne lieu à des scènes assez cocasses et drôles.

Jason Statham : nageur, cascadeur et castagneur  

Ancien nageur olympique, l’acteur britannique trouve ici un rôle qui lui permet de mettre en pratique les compétences acquises dans sa jeunesse. Lors d’une scène, Jason Statham doit en effet rester en apnée afin de rejoindre un SAS.

Une scène que le comédien de 56 ans n’a pas eu trop de difficultés à tourner puisqu’avant d’être acteur, il a fait partie durant 12 ans de l’équipe olympique britannique de natation. Il a d’ailleurs obtenu des classements notables dans plusieurs grandes compétitions internationales.

Nageur, sauveteur, castagneur et cascadeur… Autant de compétences mises à l’épreuve dans En eaux très troubles. Car, à l’instar de Tom Cruise et Jackie Chan, Jason Statham réalise lui-même la majorité de ses cascades. 

Dans ce film, il pilote lui-même le jet-ski lors de la scène d’affrontement avec les mégalodons. Le réalisateur Ben Wheatley explique dans le dossier de presse :

Comme il est très difficile de trouver une doublure dont le visage ressemble à celui de l’acteur – et qu’il faut vraiment avoir la tête à l’envers pour donner l’impression qu’on a la tête à l’envers ! – on a installé Jason sur une sorte de chignole géante dont on déclenchait le dispositif pour le faire tourner sur lui-même et on lui balançait de l’eau en plein visage.

Il voulait qu’on utilise le cardan le moins possible et la plupart des plans ont été tournés avec lui – bien évidemment, pas ceux où il surfe sur une vague gigantesque, mais c’est bien lui quand il conduit le jet-ski à très vive allure ! On avait tous les yeux rivés au combo, en tremblant, et en espérant qu’il revienne en pleine forme”.

Malgré l’accident qui a bien failli lui coûter la vie sur le tournage d’Expendables 3, Jason Statham n’a donc pas hésité à réitérer l’expérience. Ce dernier a été encadré par le chef-cascadeur Marc Mailley, déjà à l’œuvre sur la série Andor, Justice League de Zack Snyder et Mourir peut attendre.

La productrice Belle Avery déclare : “Marc a fait un boulot remarquable. Il a mis au point des acrobaties sidérantes pour Jason Statham et Wu Jing. Les spectateurs vont assister à des figures qu’ils n’ont jamais vues auparavant. Quand on voit Jason sur un jet ski ou Wu Jing en train de piloter un hélicoptère, c’est à la fois grandiose et exaltant“.

Des combats spectaculaires face à des mercenaires aguerris et à des prédateurs ayant vécu il y a 65 millions d’années.

Créer les prédateurs

Pour les mégalodons, l’équipe a repris le travail titanesque déjà réalisé sur le premier film. Les concepteurs des effets visuels ont mis plus d’un an pour façonner le méga prédateur.

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Lors de la promotion de En eaux troubles, Adrian de Wet, le superviseur effets visuels, expliquait ainsi :

“Il y a toute une formule pour obtenir la taille de la créature à partir des dents, mais il y a beaucoup de théories différentes sur l’aspect réel de ces requins. On a commencé par s’intéresser aux différentes hypothèses des scientifiques, archéologues et paléontologues, et on s’en est servi comme point de départ.

On s’est bien amusés à concevoir l’aspect du Még, mais on a fait beaucoup, beaucoup d’essais avant d’approcher du résultat final. On voulait que le requin soit énorme, imposant, terrifiant, mais également majestueux et gracieux dans l’eau. Et surtout, il fallait garder à l’esprit que le mégalodon n’est pas une version géante du requin blanc.”

Pour le deuxième volet, l’équipe a créé un nouveau mégalodon à la peau grise, couverte de cicatrices. Un animal encore plus imposant que celui du premier film. “Ce monstre a de nombreux combats à son actif et ça se voit” indique le réalisateur Ben Wheatley.

Outre les mégalodons et la méga-pieuvre, l’équipe doit affronter des créatures ayant peuplé la Terre il y a des dizaines de millions d’années et surgissant de sous la thermocline.

En s’inspirant d’un dinosaure du nom de Koreanosaurus, un herbivore qui se déplaçait à quatre pattes et avait un bec, l’équipe a créé les Vivaneaux, des carnivores courts sur pattes, aux crocs acérés et à l’appétit insatiable.

C’est une créature idéale” précise Ben Wheatley. “Ils ne sont ni trop gros, ni trop petits, car sinon le spectateur pourrait les trouver mignon et les plaindre.” Des prédateurs que vous pouvez d’ailleurs apercevoir dans la bande-annonce ci-dessus, qui est la scène d’ouverture du long métrage.

Avec cette suite, le réalisateur souhaitait faire plus spectaculaire que le précédent volet de Jon Turtletaub. Il affirme ainsi :

Je souhaitais faire une suite à En eaux troubles en visant plus haut avec des créatures plus terrifiantes, des scènes d’action plus spectaculaires, des monstres plus gigantesques, des décors plus impressionnants et des engins plus imposants. En gros, il fallait mettre le turbo à tous les niveaux !”

Et ce dernier est même parvenu à rendre hommage au légendaire concepteur d’effets visuels Ray Harryhausen avec l’utilisation de la méga-pieuvre. Il souligne : “Je dois dire, en tant que fan de Ray Harryhausen, que j’adore les tentacules géantes“.

En eaux très troubles est à découvrir dès aujourd’hui au cinéma.

Ce soir à la télé : vous n’avez jamais vu le rugby filmé comme ça

Chaque jour, AlloCiné vous recommande un film à (re)voir à la télé. Ce soir : des rugbymen wallisiens au cœur d'un premier film puissant.

Issu du milieu du documentaire, Sacha Wolff réalise son premier long-métrage de fiction en 2016. Dans Mercenaire, il raconte l’histoire de Soane, un jeune Wallisien, bravant l’autorité de son père violent pour partir jouer au rugby en métropole. Il est en effet recruté par Abraham, qui exploite le filon de l’émigration des joueurs vers la France. Livré à lui-même à l’autre bout du monde, Soane apprend à devenir un homme dans un univers qui n’offre pas de réussite sans compromis.

Passionné de rugby, Sacha Wolff s’intéresse ici particulièrement aux enjeux physiques, ainsi qu’à la dimension sociale de ce sport. Il aborde notamment la thématique du dopage à travers la transformation des corps des rugbymen pour en faire des machines à gagner.

Mercenaire

Sortie :

5 octobre 2016

|
1h 44min

De
Sacha Wolff

Avec
Toki Pilioko,
Iliana Zabeth,

Mikaele Tuugahala

Presse
3,6

Spectateurs
3,6

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Le film offre également une immersion dans un autre milieu méconnu, dont les codes et les protagonistes sont généralement oublié par le cinéma, la littérature et l’art en général : les coutumes wallisiennes. En donnant à voir et à entendre les problématiques de cette communauté océanienne, Mercenaire arpente un pan quasiment vierge de la cinématographie.

Enfin, les comédiens, principalement non-professionnels, transpirent l’authenticité. Le héros, interprété par Toki Pilioko, colosse de 19 ans et 110 kg, véritable joueur de rugby, apporte à son personnage une intensité dramatique renversante.

Mercenaire de Sacha Wolff avec Toki Pilioko, Iliana Zabeth, Mikaele Tuugahala…

Ce soir sur L’ÉQUIPE à 20h45

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